Communion & Anathème selon la doctrine catholique
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Communion & Anathème selon la doctrine catholique

12,00 €

“Communion & Anathème selon la doctrine catholique” - 1 volume de 13 x 20 cm –146 pages 

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Le 29 mai 2014, devant le mur des lamentations à Jérusalem, François et ses amis, le rabbin Abraham Skorka et l’imam Omar Abboud, se donnaient l’accolade…

L’union sacrée des religions, par le dialogue et pour la paix, est, aux yeux de certains, un projet digne de l’Evangile car l’intolérance est un vice et l’exclusion de l’autre une faute. Pour d’autres, c’est tout le contraire : L’union des religions est sacrilège et monstrueuse car l’intolérance découle d’une nécessité divine et l’exclusion de l’autre est un devoir de la communion catholique. 

Pour résoudre ce dilemme, il faut se demander si la notion de communion est une notion vide de sens ou une vérité pleine d’exigence et pour cela savoir jusqu’où doit aller notre amour de Dieu qui est Vérité ?

Dans une première partie, la présente étude s’attachera à prouver que l’amour de la vérité se mesure à la haine de l’erreur, se fondant pour cela sur les saints Evangiles, les saints Docteurs de l’Église et de sérieux auteurs catholiques. 

Dans une deuxième partie, elle constatera, par simple comparaison entre l’enseignement passé et présent, que depuis Vatican II, le pasteur s’est fait loup sous peau de brebis. Se posera alors une nouvelle et dramatique question : La brebis catholique peut-elle se dire en communion avec un “pasteur” ami de tous les ennemis de l’Église ? 

La troisième partie conclura selon les exigences évangéliques en se fondant sur la charité parfaite qui inclut nécessairement l’exclusion de tout ce qui contredit le bien divin.

Le tout sera complété par quatre annexes abordant : - l’étrange magistère de François, - sa complaisance pour le vice contre-nature, - sa dépréciation de la virginité – le devoir catholique face aux hétérodoxes.

Ce livre sera particulièrement utile à ceux qui se demandent si il est légitime de chercher ou d’accepter un accord juridique et une reconnaissance canonique de la part de Rome et dans quelle mesure une pleine communion avec la Rome actuelle ne serait pas tout aussi contre-nature que l’amicale accolade que François a donnée à ses amis devant le mur des lamentations…

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